La femme est un coeur là où l'homme est un sexe.

Il faut mordre dans la vie et en recracher tout le pus.

Il est si facile d'aimer un chien ou un chat et si difficile d'aimer un homme.

Nous avons tous besoin d'un espace de solitude.

De rires ou de rages, il faut vivre.

L'homme vit toujours au bord de l'ignoble.

Trop tôt est pire que trop tard.

Il nous faut amener l'homme à l'humain.

Le matérialisme excite le corps et écoeure l'âme.

On finit toujours par se faire prendre aux mots.

Les sexes s'emboîtent mais ne se comprennent pas.

Pour l'humanité, l'impossible est irrésistible.

Les nouveaux Dieux sont en vente en grandes surfaces.

Les hommes sont là où les femmes ne sont plus.

Rien n'est plus hideux qu'une âme à nu.

L'homme perd son temps à se croire plutôt qu'à être.

La terre est malade et nous le dit.

Tous les livres d'histoire mentent.

Aimer, c'est souvent fermer les yeux.

Que fait donc la montre des secondes qu'elle tue ?

Plus l'homme découvre, plus l'homme découvre qu'il n'est rien.

Mourir à vingt ans d'un excès de confiance.

Même dans les cimetières, la vie grouille.

Le racisme : des mots ignobles lancés aux imbéciles.

Notre terre est un monde où vivent des hommes vénéneux.

Mourir comme on a vécu : bêtement.

Vivre sans créer ce n'est pas vivre.

Sans la femme, la robe n'est rien.

Je ne doute plus, je sombre.

Nos corps finissent comme les ordures, sous terre ou incinérés.

L'école du temps, l'enseignement de la patience.

Rien n'est pire que de perdre ses illusions.

Les femmes ne vivent pas toutes d'amour, beaucoup vivent d'argent.

Celui qui s'élève dans la société compense toujours une faiblesse de "taille".

Les mots sont des approximations de la pensée.

S'entendre dire "je t'aime" et ne pas y croire.

Aucun arbre ne pousse en une nuit.

La vérité se cache loin derrière le verbe.

Les hommes sont des tigres solitaires qui s'unissent de raisons.

La courbe est la plus sensuelle des lignes.

La femme fait le singe quand elle fait l'homme.

La nuit est un village peuplé de songes.