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Que de temps nous perdons à vouloir vivre comme des rois.
L'humanité aime à se faire peur.
La modernité est sans racines, un rien l'emportera.
La mort est ce centre autour duquel nous gravitons bêtement.
La vie tue la vie pour la vie.
Vivre, c'est rester debout, immobile au-dessus du vide.
La femme que l'on aime est toujours la plus belle.
Une fois nu, l'homme n'est plus qu'un gland.
Laissez le mourir, ce n'est qu'un homme.
Chaque vie est riche de vide.
Mieux vaut ne pas prendre le temps de mourir.
Le temps qui passe est tout à fait relatif.
Chaque jour est une chance qui nous est donnée de pouvoir nous émerveiller.
Le corps s'épuise à vouloir.
La vie est un temps pour le plaisir et la douleur.
Souriez, vous en avez le droit.
La vie est souvent belle, mais combien savent encore s'en rendre compte?
La vie est belle à qui sait regarder les détails en toute chose.
La vie désenchante, elle met à l'épreuve notre capacité à vouloir.
Fuir ses responsabilités est un jeu à la mode.
Tous ils voulaient le plaisir mais peu d'entre eux en voulaient les fruits.
Tous, nous avons notre propre perception du monde.
Ce que l'homme peut faire, un jour, il le fera.
La vie est partout comme une peste.
Notre univers est infiniment courbe et l'horizon nous trompe.
Dans le vacarme du monde, un cri de plus ne change rien.
Toujours plus de questions, toujours moins de réponses.
Savoir, c'est bien souvent souffrir.
La vérité peut tuer comme la lame ou la balle.
Nos vies sont ces petites choses qui finissent par faire une civilisation.
On ne peut pas juger un homme au poids de son compte en banque.
Les modes ne se répètent pas, elles se conjuguent.
L'âge émousse la vigueur des sens.
Apprendre, c'est faire des erreurs et en tirer les leçons.
Au fond, l'homme s'ignore encore complètement.
En toute situation, il faut trouver la faille et y glisser le coin de l'espoir.
Ce qui n'est pas médiatisé n'existe pas.
Aujourd'hui il est impératif de paraître pour espérer être.
La peur est une fenêtre par où l'on aperçoit la mort.
Il y a plus de vie dans la peur que dans le bonheur.
Le feu couve toujours sous la cendre du monde.
Aussi insignifiant soit-on, la mort nous aime.
La vie n'est pas une solution, la vie est seulement un problème.
La vérité est insaisissable.
L'attente est délicieusement douloureuse.
La mort est un quai vers l'ailleurs.
L'homme est partout chez lui et nulle part heureux.
Les pires douleurs ne sont pas physiques.
L'homme qui s'ouvre les veines fait au moins un heureux.
Le parfum de la rose ne peut couvrir celui du fumier où elle pousse.
L'adulte est un enfant sans plus d'illusions.
Qui donc aura la force de briser les miroirs?
L'autre est bien souvent la béquille qui nous aide à vivre.
Rien n'est plus simple que de penser à soi.
Les liens font de l'Amour une prison.
L'avenir ne nous sauvera pas de nous-même.
Nos vies sont des sabliers qui, lentement, se vident.
Je ne peux penser à l'humanité sans serrer les dents.
Voici venu l'heure de vomir.
Tout peut se penser, mais tout ne peut se dire.
Les mensonges sont, aux coeurs, les mots les plus doux.
Ces femmes que l'on veut belles et qui ne sont que jolies.
Le Net ne semble pas l'être.
Les heures passent, les rides s'ajoutent.
La joie est dans le renoncement aux objets et dans le don de soi.
C'est quand tout semble en paix que la révolte se prépare.
Il n'y a pas d'âge pour bien mourir.
Le murmure des anges ne couvre pas la parole de Dieu.
Une femme qui aime s'ouvre de partout.
Quand la source est fraîche, souvent on y revient.
Que veulent nos contemporains? Le savent-ils eux-même?
La femme qui cesse de plaire n'existe plus.
Dans les poches du hasard se cache, parfois, un coup de génie.
Ouvrir son coeur à l'autre, c'est prendre le risque qu'il ne se vide en vain.
Qui possède, s'immobilise.
La solitude est une des portes d'entrée vers la folie.
Séduire, c'est prendre l'autre pour ce qu'il n'est pas en toute connaissance de cause.
Le séducteur ne voit, bien souvent, pas plus loin que son prépuce.