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Toutes les fidèles religieuses jouissent au nom de Dieu.
Dieu doit, sans doutes, être en vacance.
Partout, la mort se dresse face au vivant.
La peur s'écoule sur nous tous.
Notre seule ambition doit être de quitter cette terre petite et laide.
Sans objectifs extraterrestres, l'humanité, jamais, ne pourra s'unifier.
Pourquoi donc nous laissons nous voler au profit de ce petit nombre d'entre nous qui ne respectent plus rien?
Au fond, l'homme n'est jamais assez méprisé.
Les tensions montent et montent encore et seul le malheur y pourra répondre.
De crises en crises, l'humanité retourne, peu à peu, au néant.
Qu'aurons nous fait de toutes nos vies à part détruire et détruire encore!
Alors que les arbres manqueront, nos enfants en chercheront afin de nous y pendre.
Alors que l'humanité doit se battre pour ne pas disparaître, certains s'amusent encore à prier Dieu.
Il y a comme une odeur de révolte dans l'air.
Il reste encore trop d'animalité dans notre pauvre humanité.
On peut toujours se fier au coté obscur de l'humanité.
En ce nouveau siècle, voilà que les pauvres viennent au secours des riches. Cela n'est pas banal.
Il est complètement inutile de croire en la bonté des hommes.
La chine se lève enfin ... mais est-ce pour nous écraser?
Les odeurs nauséeuses de la mort commencent à se faire sentir.
Nous sommes de ces générations qui assassinent leurs descendants.
Que Dieu se garde de nous sauver.
Ici vécu une espèce particulière de primate qui, par sa propre bêtise, s'extermina elle-même.
Ce n'est pas la terre qui meure, c'est seulement l'humanité.
La troisième guerre mondiale a commencée et l'ennemi est le CO2.
Il n'y a pas une solution à la crise, il y en a des millions: vous.
Après nous, même plus les mouches.
Sauvons la planète, plantons un arbreSauvons les arbres, tuons les hommes.
L'humanité a besoin d'une autre planète, voilà pourquoi il est urgent de partir à la conquête de l'univers.
L'occident va redécouvrir le sens des valeurs.
Un monde s'écroule devant nos yeux, clos depuis trop longtemps.
La peur s'attaque à nos villes et nos villages.
Nos envies vont nous étouffer peu à peu mais inexorablement.
Le plus petit fera chuter le plus grand et, alors seulement,le soleil reviendra.
Bientôt, la colère va pousser sur le désespoir.
La misère commence à s'infiltrer dans nos vies.
Le temps viendra où l'homme mangera l'homme pour survivre.
Nous devons changer par la paix ou par la guerre.
La toute puissance de l'humanité est un château de sable que la nature se prépare à balayer.
L'humanité semble, peu à peu, se suicider.
L'humanité a bien du mal à s'extraire du monde animal.
Les rivières s'écoulent sans illusions.
Le jour viendra où nous devrons choisir qui vivra et qui ne vivra pas.
Deux milliards d'hommes et de femmes en moins sur terre et voilà déjà deux degrés de moins dans le prochain réchauffement planétaire.
Moins de croissance c'est aussi moins de CO2 relâché dans l'atmosphère.
Les financiers peuvent rire de bon coeur, les peuplent dorment toujours profondément.
En d'autres temps, des têtes auraient déjà été coupées.
L'humanité peut-elle encore exprimer sa colère ?
La violence va bien pousser sur nos champs de misères.
Le temps est à l'orage et la grêle s'annonce.
Face à la vie, il n'y a pas de bonnes réponses, il n'y a que de vaines questions.
Dans la vie, rien n'est donné et tout est à prendre.
Un homme heureux est un homme mort.
Le bonheur n'est pas une bonne raison de vivre.
Le rire est une arme mortelle.
La chance ne vient qu'aux chanceux.
L'humanité n'est pas au bout de sa peine.
Nue, la femme est rarement belle même si elle reste sensuelle.
Communisme et capitalisme sont deux chemins qui mènent l'humanité dans une impasse.
Le temps est venu de bâtir l'après capitalisme.
Il est si facile de suivre.
Les peuples prennent plaisir à être dominés.
La bourse chute mais c'est le peuple qui saigne.
Le capitalisme meurt de ses excès.
Le jour des morts, les fleurs meurent en nombre.
Il y a dans les livres de bien belles rencontres à faire.
Les idoles d'un temps ne l'auraient pas été en un autre.
Les riches aussi meurent.
Et dire que tout cela ne mène à rien.
La mort est une amante trop fidèle dont on se lasse.
Se survivre par leur nom, voilà bien le rêve des idiots.
La nuit n'est pas une absence de lumière, elle en est l'attente.
Le plaisir d'une nuit ne comble pas le vide de toute une vie.
A ne rien posséder, on s'allège fortement l'âme.
A quoi bon se plaindre puisqu'on est encore vivant.
A force de seulement regarder, on ne voit plus rien par soi-même.
Les cimetières sont des lieux où la peur règne en maître.
Les âmes sont des nuages que les vents de l'histoire emportent vers l'oubli.
L'homme connaît un peu de l'univers et presque rien de lui-même.
Qui veut aimer, se doit d'aimer d'Amour.
Chaque humain sauvé est une chance de plus pour demain.
Dieu serait-il, en nous, cette part d'innocence et de pureté qui, doucement, s'oublie?
Ensemble, toutes les femmes enfantent le monde et ses malheurs.
L'amour est le passage obligé vers la haine.
Il est urgent de rire car les larmes, déjà, s'annoncent.
Le doute est cette pierre sur laquelle l'action trébuche.
Toujours, l'autre nous juge peu ou prou.
Nos vies sont des ponts érigés entre le hasard et le néant.
A force de vivre si vite, il n'est pas étonnant que l'on vive si mal.
Vivre seul est une preuve de force ou de fuite.
La peur est l'un des rares moteurs de la vie.
Les coups reçus durcissent la peau et l'âme.
Quoi de plus négligeable que la gloire?
La force du faible est sa faiblesse.
Au fond de lui, chaque individu sait bien qu'il est seul et unique.
A trop réfléchir à l'avenir, on ne vit pas le présent.
La société fait de l'homme un mouton.
Les relations humaines pervertissent la nature profonde de l'homme.