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L'égalité entre les hommes est une vaine illusion.
Sans mémoire il n'y a pas d'intelligence.
Seule la nécessité de survivre pourra mobiliser toute l'humanité.
L'humanité est toujours à deux doigts de se taire.
Voir, ce n'est pas seulement ouvrir les yeux.
L'homme ne gère pas son milieu, il se contente de le saccager.
Les mensonges sont bien moins pénibles à entendre que la vérité.
Où donc meurent les hirondelles?
Les livres sont des morceaux de temps figés semés dans le fleuve de la vie.
Nos vies n'ont pas de sens, elles ont juste un but: l'espèce.
Trop de vérités font à l'homme ce que le trop d'eau fait à la fleur.
On ne possède rien que ses illusions.
La rive est toujours trop loin pour qui ne sait pas nager.
La justice prend son temps pour n'être pas juste.
Plus la femme est belle et plus le mensonge est grand.
La vie est trop longue pour qui veut bien vivre.
Les yeux sont morts qui ne voient plus les rêves.
L'éjaculateur précoce n'est jamais qu'un homme un peu trop pressé.
C'est vrai que la terre nous colle aux os.
La seule richesse est dans la diversité du gène.
Le doute sert la pensée mais désert l'action.
Chacun d'entre nous a le poids qu'il se donne.
Ensemble, sauvons le monde de l'humanité.
L'orgasme est une sorte d'orage corporel.
Tout est toujours à refaire, voilà bien le mystère de la vie.
Les enfants font des parents des prisonniers.
La force du Diable est dans les faiblesses de l'homme.
Plus la peur est profonde et plus le plaisir est divin.
Les objets nous écrasent de leur poids.
Parce que rien n'a d'importance, il nous faut vivre prudemment.
Seuls les anges pleurent aux bords des charniers.
Il faut parfois prendre le risque de vivre debout.
A force de trop vouloir, on ne sait plus que vouloir.
La vie est une mauvaise habitude.
Pourquoi ces grilles aux portes des cimetières?
Ne donnons pas sa chance à la mort qui rode.
La peur nous cerne, nous pénètre et nous brise.
Vivre, c'est essayer de concilier l'ordre et le chaos.
Beaucoup de femmes sont jolies mais peu d'entre elles sont belles.
La mort est un fleuve qui se jette dans l'univers.
Le plaisir ne nous épargne pas le vide de nos vies.
La fleur s'ouvre au bonheur des ruches.
Sous le poids des siècles, la femme se courbe et s'offre.
La misère des hommes fait le bonheur de Dieu.
Tout frottement n'est pas plaisir.
Chez la femme, le coeur bat sous bien des charmes.
On ne pense jamais trop quand on pense par soi-même.
Les adieux sont des larmes qui glissent doucement dans la mémoire.